À Adrar, deux personnes sont mortes des suites du paludisme et près d’une centaine d’autres est atteinte pami les populations nomades de Bordj Badji Mokhtar et  de Timimoun. En raison du manque de moyens, les services de la santé au niveau de cette wilaya se disent impuissants face à cette maladie.

« Il s’agit de cas importés par des personnes en provenance de la région subsaharienne ou celles s’étant rendues dans des zones à forte propagation et n’ayant pas respecté le protocole de prévention », rapporte le journal Echourouk.

Au niveau de la structure hospitalière de la commune de Bordj Badji Mokhtar, quelque 80 personnes atteintes ont été admises. Le personnel du dispensaire de Timimoun est confronté à une situation similaire. Les praticiens exerçant au niveau de ces structures de santé se disent désarmés devant la propagation de cette maladie à cause du manque de moyens.

Le paludisme ou la malaria, également appelé « fièvre des marais », est une maladie infectieuse due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles.

M. Mansour